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KENNY BARRON / ABDULLAH IBRAHIM
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Adresse
CHAPITEAU - MARCIAC
Marciac 32230 Localiser ce lieu
Ce spectacle n’est plus disponible
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Présentation
A 21h : KENNY BARRON
TRIO
Kenny Barron a su accéder progressivement au statut de "grand maître" du piano jazz, un peu à l'ancienneté, beaucoup par l'élégance de son style encapsulant l'histoire de son instrument, parvenu à une épure de swing omniscient. Qui ne se souvient de son album live en duo avec Stan Getz ? La liste de ceux qu’il a accompagnés est un vrai who’s who du jazz ! Mais si Dizzy Gillespie, Freddie Hubbard, Stanley Turrentine, Milt Jackson, Buddy Rich, Yusef Lateef, Eddie Harris, Sonny Stitt, Ella Fitzgerald, Roy Haynes, Chet Baker, Elvin Jones, David Sanborn ou bien encore Ornette Coleman ont fait appel un jour au service de Kenny Barron, c’est que le piano de ce maître de l’élégance n’a jamais cessé d’offrir un swing, un raffinement et une épure hors norme. A presque 80 ans, le natif de Philadelphie est de cette école de la note juste, de ceux qui savent intégrer silence et espace dans leur musique et n’abusent jamais de leur impressionnante technique. “Less is more”, comme disent les Anglo-saxons… Kenny Barron ne cherche pas à révolutionner le genre mais plutôt à trouver le ton juste et perpétuer la tradition du swing intelligent et imparable. Avec ses fidèles Kiyoshi Kitagawa à la basse et Johnathan Blake à la batterie, l' "art du trio" qui est tout sauf de "l'art-déco" atteint au sublime ! La grande classe.
Kenny Barron (piano) Kiyoshi Kitagawa (basse) Johnathan Blake (batterie)
A 23h : ABDULLAH IBRAHIM
TRIO
Lorsque Ellington vous déclare, « tu es béni car tu viens de la source », votre avenir ne peut qu’être… radieux ? La suite de la carrière d’Abdullah Ibrahim donnera raison au Duke. Venir de la source est une sorte de rêve pour les jazzmen nés aux Etats- Unis. Et comme Abdullah Ibrahim est l’Afrique, il a toujours mêlé son jazz aux rythmes des townships, au gospel, au folklore khoisan et même à la musique classique. Le Sud-africain qui côtoya sous l’alias Dollar Brand, les Pharoah Sanders, Don Cherry, Elvin Jones, Cecil Taylor et autre John Coltrane, est un intouchable sage dont il est sain et nécessaire d’écouter régulièrement les préceptes. Avec eux, il joue et échange, immergé dans un bouillon de culture qui le conduit à explorer ses racines africaines puis à se convertir à l’Islam. Après son retour en Afrique du Sud à la fin des années 1960, il devient vite l’une des grandes voix anti-apartheid, à la faveur notamment de sa composition "Mannenberg", enregistrée en 1974 et considérée comme l’hymne national officieux du pays. En 1994, il est tout naturellement invité à l’interpréter lors de la cérémonie d’investiture de Nelson Mandela à la présidence sud-africaine. A 87 ans passés, le célèbre compositeur et pianiste sud africain revient avec un nouvel album intitulé "Solotude" qui est le témoignage sublime d’un grand maître dont la sérénité et le jeu sont simplement éblouissants. Au fil de son parcours, Abdullah Ibrahim n’a cessé d’explorer, inventer et approfondir son art, en collaboration avec d’autres ou en solitaire.
Abdullah Ibrahim (piano) Cleave Guyton (saxophone alto, flûte, clarinette, piccolo) Noah Jackson (basse, violoncelle)
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