ANGELICA LOPEZ + MAYKEL BLANCO Y SU SALSA MAYOR

De 20h45 à 22h15 : ANGELICA LOPEZ

Angelica Lopez associe des riffs de guitare infusés de latin à des voix magnifiques pour appeler les habitants de la planète à faire quelque chose pour aider la Terre mourante

Angelica Lopez, chanteuse latine sensationnelle, sort sa chanson de protestation, ‘New Gold’. exhortant le monde à protéger leur maison et réparer le gâchis que les humains ont causé sur la Terre, Lopez associe des riffs de guitare infusés de latin à des voix magnifiques pour appeler les habitants de la planète à faire quelque chose pour aider la Terre mourante. Enregistré avec ses racines colombiennes en esprit, ‘New Gold’ présente les sons d’elle magnifique patrie, en utilisant des instruments tels que la gaita, l’accordéon Vallenato et la cumbia maracas – représentant son héritage et son histoire en tant que natif colombien.

Angelica Lopez – Chant
Edison Carranza – Gaita
Felipe Rojas – Batterie
Gustavo Alcantara – Clavier et synthétique
Kwesi Mcintosh – Basse
Juan Contento – Guitare Électrique
Boris Caicedo – Tambora & direction

De 22h30 à Minuit : MAYKEL BLANCO Y SU SALSA MAYOR

Rhoda Scott est née en 1938 aux États-Unis, à Dorothy, dans le New Jersey. Fille d’un pasteur itinérant, elle a grandi dans l’ambiance des petites églises noires. C’est là, en accompagnant les gospels et les negro spirituals dès l’âge de huit ans, qu’elle révèle une sensibilité musicale exceptionnelle à l’orgue.

Sans aucun doute, Maykel Blanco Y Su Salsa Mayor semble avoir déjà relevé des défis de toutes sortes. Cet orchestre s’oppose à tous ceux qui prétendent aimer la musique cubaine dès les premiers accords de chaque présentation, y compris les joueurs de reggaeton, en raison de son image jeune, de ses chorégraphies modernes et de ses thèmes actuels. Ses paroles ne sont pas seulement chantées à La Havane, mais dans toute l’Amérique latine et dans d’autres régions du monde où ses tournées sont déjà un classique, comme l’Europe et les États-Unis d’Amérique latine.

Le destin de Maykel Blanco semblait déjà tracé lorsqu’il a été ému, enfant, en écoutant un concert historique du légendaire Vénézuélien Oscar D’León.

Il lance une production spectaculaire avec le DVD Cerrando Filas et sort son dernier album Que no me quiten la fé, avec un certain nombre de chansons qui sont devenues des thèmes du livre de chansons de la rue de La Havane, comme : Mi Mulata en La Habana, Afloja la Guayaba, El Negocio, Que no me quiten la fe y Siempre que llueve Escampa.

L’orchestre est composé d’une équipe de 15 personnes venues de Cuba pour nous offrir un spectacle de grande qualité.

Il s’imprègne des courants les plus forts de la musique populaire cubaine du moment emmenés par l’orchestre Revé et Los Van Van les renouvelant tout en respectant globalement l’héritage de leurs pianistes respectifs qu’il admire tant : Pupy (ex-pianiste de Los Van Van), Juan Carlos Alfonso (Reve) et Monolito Simonet.

Il annonce un succès à l’étranger avec l’album  »Anda y Pégate ».

Il reconfirme que ce n’était pas un coup de chance avec l’album  »I am what pulls you ».

En 2013, il nous surprend à nouveau avec son album peut-être le plus solide jusqu’alors :  »A toda Máquina », rempli de chansons qui, en très peu de temps, sont devenues de véritables tubes : Tremenda pinta, Bembe, El Songo de todos, La Calle, Son esos.

Maykel Blanco – Chant