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IRMA LA DOUCE AVEC NICOLE CROISILLE ET LORANT DEUTSCH
Informations
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Adresse
THÉÂTRE DE LA PORTE SAINT MARTIN
Paris 75010 Localiser ce lieu
Ce spectacle n’est plus disponible
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Adresse
THÉÂTRE DE LA PORTE SAINT MARTIN
Paris 75010 Localiser ce lieu
Ce spectacle n’est plus disponible
Présentation
Irma la Douce, une comédie musicale populaire du Paris des années 1950
Avant la voix, il y a l’écrit, Irma la Douce est tirée d’une courte pièce d’Alexandre Breffort, les Harengs terribles. Puis Marguerite Monnot l’a mise en musique pour la première fois. Le rôle est proposé à Juliette Greco puis à Colette Deréal, mais c’est finalement Colette Renard qui jouera pour la première fois Irma la Douce, cette prostituée en mal d’amour protégée par Nestor le Fripé, un étudiant en droit sans le sou, parfait titi parisien. Amoureux jaloux, il se déguise et se fait passer pour Oscar, un vieil homme fortuné qui ne cherche que la conversation. Las de travailler pour entretenir cette secrète relation, il lui faut tuer son alter ego… Entre amour, humour et suspense, on se laisse enivrer par les chansons populaires des faubourgs parisiens des années 1950. Irma la Douce a enchanté le public français des années durant avec plus de 962 représentations au théâtre Gramont puis à l’Athénée. Les reprises n’ont cessé depuis lors, avec de nombreux acteurs s’essayant au duo atypique. Aujourd’hui, c’est Nicolas Briançon qui joue les metteurs en scène en dirigeant 15 comédiens talentueux. On y retrouve notamment Nicole Croisille, Marie-Julie Baup et Lorant Deutsch.Photos & Vidéos
IRMA LA DOUCE AVEC NICOLE CROISILLE ET LORANT DEUTSCH - Avis des spectateurs (139)
Rédiger Un AvisVincent P. - 03/01/2016
MC - 03/01/2016
GAMIN DE MENILMONTANT - 01/01/2016
Yvelines - 01/01/2016
zabu - 01/01/2016
Ticketac en parle
Irma la douce : une pièce mondialement connue
Irma la douce fait revivre le Paris des années 50 : le Paris de la gouaille, du petit banditisme et des filles de joie. Irma est l’une d’entre elles. Au cabaret des Inquiets, mené par Mama, une tenancière au tempérament de feu, Irma fait le bonheur des hommes de passage. Jusqu’au jour où Nestor “le fripé”, petit caïd de Pigalle, la rencontre. Tous deux filent le parfait amour mais très vite les occupations d’Irma viennent hanter le jeune homme. Tenaillé par la jalousie, n’ayant pas réussi à persuader la douce de raccrocher, ce dernier met en place un stratagème afin qu’elle ne soit plus qu’à lui et rien qu’à lui. Entre suspens et humour, volupté, dédoublement, mort, exil : c’est d’une véritable odyssée que leur amour devra triompher.
Avec son aura et son succès international - une mise en scène à Londres par Peter Brook, des représentations à Broadway et une adaptation au cinéma par Billy Wilder avec Shirley MacLaine dans la peau de la douce Irma - faire revivre ce musical n’était pas une mince affaire. Pourtant, ce petit bijou du répertoire du XXème siècle, retrouve une nouvelle jeunesse dans la mise en scène de Nicolas Briançon. Les décors, les costumes, le phrasé argotique des comédiens nous entraînent dans l’ivresse de ce Paris des bas-fonds. Talentueux et touche à tout le metteur en scène s’approprie toutes les fantaisies du livret d’Alexandre Breffort et les facéties des musiques de Marguerite Monnot.
Des comédiens de talent dans la peau de personnages hauts en couleur
Les personnages sont frais et savoureux. Nicole Croisille, incarne la tenancière du cabaret, où se déroule l’histoire. Le rôle est difficile : une sorte de monsieur loyal, précurseur féminin d’Emcee dans Cabaret. En bonne narratrice, elle nous interpelle, elle vient nous chercher au coeur de la salle pour nous guider dans cette intrigue mêlée de réalisme et de poésie. Mais l’interprète légendaire de "Téléphone-moi" est excellente de justesse. Sur scène, elle peut tout faire : comédie, danse, chant. Et elle n’a rien perdu de sa voix puissante et chaleureuse.
A ses côtés, Lorànt Deutsch et Marie-Julie Baup donnent vie avec émotion et fébrilité à ce couple torturé, dont le bonheur à portée de main n’est pourtant pas toujours si facile à attraper. Enfin, parmi une troupe joyeuse, drôle et endiablée, menée par l’orchestre live de Gérard Daguerre, la performance haute en couleurs d’Andy Cocq, notamment dans le rôle du bagnard-“La douceur” (oxymore ô combien évocateur), est un océan de joie et de bonne humeur.
Comme la vie des personnages, les deux actes du spectacle filent à une vitesse folle ; et c’est sous des applaudissements interminables qu’Irma la douce s’installe pour un nouveau long succès sur les planches.
>>A voir jusqu’au 15 octobre au Théâtre de la porte Saint-Martin. Réservez d'ores et déjà vos billets pour Irma la douce sur Ticketac.com
Comment venir au Théâtre de la porte Saint-Martin ?
Métro : STRASBOURG SAINT DENIS (lignes 4, 8, 9), RÉPUBLIQUE (lignes 3, 5, 8, 9, 11)
Bus : Porte St Martin (bus 20, 38, 39, 47)
Vélib' : voir les stations à proximité.
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