ET PENDANT CE TEMPS, SIMONE VEILLE ! - LE NOUVEAU

Excellente pièce, qui traite d’un sujet important avec beaucoup d’humour ! Merci aux quatre actrices, dont l’énergie et le talent sont bluffants ! À voir !

Superbe pièce ! Une fresque drôle et émouvante de l’histoire de l'émancipation des femmes. Les comédiennes sont parfaites, les costumes magnifiques, la scénographie nous fait voyager sans changer de décor. Un grand bravo !

Genial, un pur bonheur. Mention spéciale pour Simone tellement drôle. À voir absolument.

Superbe pièce très beau moment On rit du début jusqu’à la fin bravo à aux comédiens

Le fait d’ériger en symbole absolu de la lutte une femme de droite blanche aurait déjà dû me mettre la puce à l’oreille et me pousser à aller voir autre chose comme moi moche et méchant 4. Le fait de remercier les hommes « alliés » était la cerise sur le gâteau, le point final d’une orgie de vide. Je suis sure que ça a fait très plaisir aux hommes dans la salle qui se bidonnaient à la moindre blague sur le viol collectif et les violences misogynes de se dire que, eux aussi, ils avaient participé à libérer les femmes. En gros, cette pièce, qui n’est ni un travail transgressif, ni un hommage aux féministes qui nous ont précédés, est carrément un retour en arrière dans la lutte. Simone Veil serait très contente et ça n’est pas une bonne chose. L’utilisation à outrance d’insultes misogynes est inutile. On a pas besoin de 28 « salope! » braillés à la salle pour comprendre que les femmes sont dépréciées. La subtilité manque à cette pièce qui n’a déjà pas grand chose pour se défendre. Un peu de nuance serait appréciable, un peu de recherche aussi. J’avais un peu d’espoir au moment où on nous a présenté les 3 personnages. « Ah! Un peu de lutte des classes. » mais non, aucune substance et le personnage de la bourgeoise éduquée qui instruit ces connes de prolétariennes n’était pas une blague, mais bel et bien le parti pris de toute la pièce. Recommandations pour un féminisme un peu plus substantiel : - Femme , race et classe / A. Davis - Révolution au point zéro / S. Federici 2/2