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JEAN-MARC DERMESROPIAN CHANTE PIERRE PERRET
(Comedie de Grenoble)
Informations
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Adresse
LA COMEDIE DE GRENOBLE
Grenoble 38000 Localiser ce lieu
Ce spectacle n’est plus disponible
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Présentation
C’est avec la plus grande humilité que le Marseillais Jean-Marc Dermesropian vient de nous offrir son hommage à Pierre Perret.
Vingt-quatre titres, choisis avec un soin extrême qui traduit à l’évidence une parfaite connaissance de l’œuvre d’un des plus fins ciseleurs de la chanson française. L’entreprise était pourtant périlleuse, à en juger par le peu d’interprètes qui s’y étaient risqués jusque-là. Un pari audacieux qui visait à revisiter sans trahir. Jean-Marc Dermesropian a soutenu la gageure, réussite inespérée qui a suscité ce commentaire élogieux de notre Pierrot national : « On n’a pas vraiment le luxe de louper un gus de cette trempe ! ».
Pour lapidaire qu’elle soit, cette injonction mérite, pour le moins, d’être prise en considération. Et pour cause. Les années 70 y sont mises en exergue avec 16 titres (parmi lesquels « La louve », « La porte de ta douche », « Au café du canal », « Le temps de puces », « Estelle », « Le petit potier »), les années 60 (6 titres, dont « Pépé la jactance » et la très confidentielle « Mimi la douce ») y ont également une place de choix, sans pour autant négliger les petits bijoux tels « La veuve » (1986) ou « La petite Kurde » (1992).
Une diction parfaite, le choix de la seule guitare pour enguirlander des textes toujours jubilatoires et juste ce qu’il faut de distanciation (de pudeur ?) pour ne pas donner le sentiment d’entrer par effraction dans l’univers de l’auteur : tels ont été les choix de Jean-Marc Dermesropian. Une option gagnante, à coup sûr. Au service d’un grand bonhomme de la chanson française.
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Vingt-quatre titres, choisis avec un soin extrême qui traduit à l’évidence une parfaite connaissance de l’œuvre d’un des plus fins ciseleurs de la chanson française. L’entreprise était pourtant périlleuse, à en juger par le peu d’interprètes qui s’y étaient risqués jusque-là. Un pari audacieux qui visait à revisiter sans trahir. Jean-Marc Dermesropian a soutenu la gageure, réussite inespérée qui a suscité ce commentaire élogieux de notre Pierrot national : « On n’a pas vraiment le luxe de louper un gus de cette trempe ! ».
Pour lapidaire qu’elle soit, cette injonction mérite, pour le moins, d’être prise en considération. Et pour cause. Les années 70 y sont mises en exergue avec 16 titres (parmi lesquels « La louve », « La porte de ta douche », « Au café du canal », « Le temps de puces », « Estelle », « Le petit potier »), les années 60 (6 titres, dont « Pépé la jactance » et la très confidentielle « Mimi la douce ») y ont également une place de choix, sans pour autant négliger les petits bijoux tels « La veuve » (1986) ou « La petite Kurde » (1992).
Une diction parfaite, le choix de la seule guitare pour enguirlander des textes toujours jubilatoires et juste ce qu’il faut de distanciation (de pudeur ?) pour ne pas donner le sentiment d’entrer par effraction dans l’univers de l’auteur : tels ont été les choix de Jean-Marc Dermesropian. Une option gagnante, à coup sûr. Au service d’un grand bonhomme de la chanson française.
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