LA CHIENLIT 1ER ÉPISODE

POUR UN FASCISME LUDIQUE ET SANS COMPLEXE D’ALEXANDRE MARKOFF - à la cour de la Reine

Informations

Durée
1 heure 15 minutes
Type de public
A partir de 12 ans
Adresse
THÉÂTRE DU ROI RENE - AVIGNON
Avignon 84000 Localiser ce lieu

Ce spectacle n’est plus disponible

Distribution
Salle
Avis

Durée
1 heure 15 minutes
Type de public
A partir de 12 ans
Adresse
THÉÂTRE DU ROI RENE - AVIGNON
Avignon 84000 Localiser ce lieu

Ce spectacle n’est plus disponible

Présentation

Dans ce premier épisode de notre série théâtrale La Chienlit, il sera question de fascisme, mais sans treillis militaire ni moustache carrée. Alexandre Markoff préférant traquer les ferments du totalitarisme dans la folie joyeuse et burlesque d’une réunion de co-propriété.

LA CHIENLIT à la Cour de la Reine : Distribution en alternance

Alexandre Markoff : Auteur / Metteur en scène
Diane Bonnot : Comédien
Jeanne Rochette : Comédien
Ivan Cori : Comédien
Sébastien Delpy : Comédien
Nicolas Di Mambro : Comédien
Pauline Jambet : Comédien
Sylvain Tempier : Comédien
Aline Vaudan : Comédien

LA CHIENLIT 1ER ÉPISODE - Avis des spectateurs (0)

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LA CHIENLIT 1ER ÉPISODE - Avis presse

TTTT: Les huit truculents comédiens se surpassent dans cette désopilante galerie de portraits, qui offre un éclairage effrayant sur les petits travers d’une classe moyenne engoncée dans un idéalisme bourgeois, jusqu’à l’irrémédiable chute. Du théâtre entre David Lynch et Intervilles.

TELERAMA

On rit beaucoup de ces dialogues absurdes ciselés avec brio qui nous emmènent gaiement sur le chemin du burlesque. […] on pense surtout à Becket […] et aussi à Lagarce avec ce langage qui ne sert, finalement, qu’à combler le vide existentiel des personnages et à souligner l’incommunicabilité qui les caractérise.

LE JOURNAL DE SAONE ET LOIRE

Le jeu est juste, le propos universel. Le Grand Colossal invite à changer le paradigme de la politique […] Les rires du public ne cessent jamais : le jeu est délectable, les personnages sont follement incarnés.

LA MONTAGNE

S'entremêlent voisins envahissants, mouette kamikaze, maire qui maîtrise davantage la langue de bois que la gestion de sa ville et les bas sentiments de personnages aussi excentriques les uns que les autres. Une pièce désopilante et culottée.

LA NOUVELLE REPUBLIQUE